Comment le Va’a a commencé pour toi ?
« Le va’a ça fait pratiquement vingt ans que j’en fais. J’ai commencé à neuf ans avec mon frère. À l’époque, c’était le sport du quartier, tous mes copains étaient dedans. »
Pourquoi avoir commencé la compétition ?
« La première compétition que j’ai faite, c’était à l’âge de onze ans. Au début, je ramais plus pour le fun, mais petit à petit je me suis investi. C’est vraiment pour avoir un travail que j’ai commencé à beaucoup m’entraîner. Mon frère a eu son travail avec ce sport et moi aussi, je voulais trouver un travail par le sport. À l’âge de 20 ans, j’étais dans l’élite sénior et c’est comme ça que j’ai été remarqué par les entraîneurs de Shell. »
Tu t’es mis au SUP (Stand Up Paddle) il y a trois ans, est-ce que tu aimerais t’investir plus dans ce sport ?
« Je fais parti des dix meilleurs à chaque compétition. J’aimerais faire plus, mais on n’a pas vraiment de temps pour se préparer aux compétitions de SUP. J’envisage même de me reconvertir, j’ai remarqué que d’autres rameurs s’étaient exportés, mais après il faut trouver les bons sponsors. Normalement, c’est dans mes projets. Je pense qu’il faut que j’assure le podium localement dans un premier temps. »
Comment appréhendes-tu le Te Aito 2016 ?
« Le Te Aito. c’est la course phare de l’année. J’essaie de me préparer correctement, je n’ai pas vraiment de pronostics, mon objectif, c’est de faire mieux que l’année dernière (cinquième au Super Aito). Si je peux finir quatrième ce serait bien. Le niveau des jeunes est impressionnant. Tutearii Hoatua et Révi Thon Sing ont bien progressé. Kyle Taraufau, Hititua Taerea, Damas Ami, Rete Ebb, Kévin Céran Jérusalémy et Steve Teihotaata seront les monstres de la compétition. J’ai aussi entendu dire que Brice de Bora Bora était en forme, de même que Jacques Tetuanui. Je pense que samedi, il y aura du « fight ». Tout le monde veut finir dans les cent premiers. J’ai vu qu’ils avaient allongé le parcours. Il est maintenant plus long, il faudra gérer en fonction. »
Tu as battu Kévin Céran-Jérusalémy, c’est de bon augure ?
« Oui je l’ai battu, ça m’a motivé parce que ce n’est pas n’importe qui. Je suis un peu déçu de l’absence des autres champions. »
Quels sont tes projets ?
« Je n’en ai pas encore. Si je peux ramer pendant encore cinq ans, je serai content. J’aimerai faire des courses à l’étranger, défendre nos couleurs, montrer que le va’a appartient à la Polynésie. »
Des remerciements ?
« Je remercie ma famille, mes amis, tous mes proches et tous mes sponsors. »
Suivez l’actualité sportive du Fenua sur www.sportstahiti.com.
« Le va’a ça fait pratiquement vingt ans que j’en fais. J’ai commencé à neuf ans avec mon frère. À l’époque, c’était le sport du quartier, tous mes copains étaient dedans. »
Pourquoi avoir commencé la compétition ?
« La première compétition que j’ai faite, c’était à l’âge de onze ans. Au début, je ramais plus pour le fun, mais petit à petit je me suis investi. C’est vraiment pour avoir un travail que j’ai commencé à beaucoup m’entraîner. Mon frère a eu son travail avec ce sport et moi aussi, je voulais trouver un travail par le sport. À l’âge de 20 ans, j’étais dans l’élite sénior et c’est comme ça que j’ai été remarqué par les entraîneurs de Shell. »
Tu t’es mis au SUP (Stand Up Paddle) il y a trois ans, est-ce que tu aimerais t’investir plus dans ce sport ?
« Je fais parti des dix meilleurs à chaque compétition. J’aimerais faire plus, mais on n’a pas vraiment de temps pour se préparer aux compétitions de SUP. J’envisage même de me reconvertir, j’ai remarqué que d’autres rameurs s’étaient exportés, mais après il faut trouver les bons sponsors. Normalement, c’est dans mes projets. Je pense qu’il faut que j’assure le podium localement dans un premier temps. »
Comment appréhendes-tu le Te Aito 2016 ?
« Le Te Aito. c’est la course phare de l’année. J’essaie de me préparer correctement, je n’ai pas vraiment de pronostics, mon objectif, c’est de faire mieux que l’année dernière (cinquième au Super Aito). Si je peux finir quatrième ce serait bien. Le niveau des jeunes est impressionnant. Tutearii Hoatua et Révi Thon Sing ont bien progressé. Kyle Taraufau, Hititua Taerea, Damas Ami, Rete Ebb, Kévin Céran Jérusalémy et Steve Teihotaata seront les monstres de la compétition. J’ai aussi entendu dire que Brice de Bora Bora était en forme, de même que Jacques Tetuanui. Je pense que samedi, il y aura du « fight ». Tout le monde veut finir dans les cent premiers. J’ai vu qu’ils avaient allongé le parcours. Il est maintenant plus long, il faudra gérer en fonction. »
Tu as battu Kévin Céran-Jérusalémy, c’est de bon augure ?
« Oui je l’ai battu, ça m’a motivé parce que ce n’est pas n’importe qui. Je suis un peu déçu de l’absence des autres champions. »
Quels sont tes projets ?
« Je n’en ai pas encore. Si je peux ramer pendant encore cinq ans, je serai content. J’aimerai faire des courses à l’étranger, défendre nos couleurs, montrer que le va’a appartient à la Polynésie. »
Des remerciements ?
« Je remercie ma famille, mes amis, tous mes proches et tous mes sponsors. »
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