WELLINGTON, lundi 29 avril 2013 (Flash d’Océanie) – La classe politique néo-zélandaise a salué unanimement lundi la mémoire d’un ancien ministre des affaires Maori, le travailliste Parekura Horomia, décédé subitement à l’âge de 62 ans des suites d’une maladie cardio-vasculaire.
Cet élu néo-zélandais, entré en politique à la fin des années 1990, est décédé entouré de sa famille, de ses proches et des membres de son clan traditionnel, a rapporté lundi la presse locale.
En tête dans la liste des hommages : celui du Premier ministre centre-droit John Key, qui a évoqué la mémoire d’un « député hautement respecté, un vrai gentilhomme » et insisté sur l’œuvre de cet élu pour la cause Maori, y compris dans ses fonctions au sein d’un gouvernement travailliste (2002-fin 2008) alors dirigé par Mme Helen Clark et qui incluaient un travail de mise en œuvre des accords fonciers signés entre communautés Maori et la Couronne (État) de ce pays du Commonwealth.
Des cérémonies coutumières sont prévues mardi, à son Marae (place sacrée de réunion Maori) de Hauiti, avant les funérailles.
L’une des dernières apparitions publiques de M. Horomia remonte au début avril 2013, lorsqu’il se trouait en bonne place au sein d’une délégation d’élue néo-zélandais pour accueillir un groupe de près de 80 parlementaires océaniens, venus dans le cadre d’une réunion annuelle censée raffermir les liens entre Wellington et ses voisins les plus proches de la région Pacifique.
Les problèmes de santé de M. Horomia (principalement dus à une obésité), d’ordre cardiovasculaires ou respiratoires (asthme chronique) suscitaient l’inquiétude depuis de nombreuses années, y compris durant la période où il exerçait des fonctions ministérielles.
pad
Cet élu néo-zélandais, entré en politique à la fin des années 1990, est décédé entouré de sa famille, de ses proches et des membres de son clan traditionnel, a rapporté lundi la presse locale.
En tête dans la liste des hommages : celui du Premier ministre centre-droit John Key, qui a évoqué la mémoire d’un « député hautement respecté, un vrai gentilhomme » et insisté sur l’œuvre de cet élu pour la cause Maori, y compris dans ses fonctions au sein d’un gouvernement travailliste (2002-fin 2008) alors dirigé par Mme Helen Clark et qui incluaient un travail de mise en œuvre des accords fonciers signés entre communautés Maori et la Couronne (État) de ce pays du Commonwealth.
Des cérémonies coutumières sont prévues mardi, à son Marae (place sacrée de réunion Maori) de Hauiti, avant les funérailles.
L’une des dernières apparitions publiques de M. Horomia remonte au début avril 2013, lorsqu’il se trouait en bonne place au sein d’une délégation d’élue néo-zélandais pour accueillir un groupe de près de 80 parlementaires océaniens, venus dans le cadre d’une réunion annuelle censée raffermir les liens entre Wellington et ses voisins les plus proches de la région Pacifique.
Les problèmes de santé de M. Horomia (principalement dus à une obésité), d’ordre cardiovasculaires ou respiratoires (asthme chronique) suscitaient l’inquiétude depuis de nombreuses années, y compris durant la période où il exerçait des fonctions ministérielles.
pad
