Amiens le 6 décembre 2025. Elle était l’une des grandes favorites. Dans la nuit de samedi 6 à dimanche 7 décembre 2025, Hinaupoko Devèze, Miss Tahiti 2025, a été élue Miss France. C’est sous les applaudissements vigoureux de sa famille venue en nombre qu’elle a été sacrée de la couronne tant convoitée. Quelques minutes après seulement, elle s’est exprimée sur cet événement qui va chambouler son année et sa vie.
A peine élue et déjà grandement sollicitée, quand on lui pose la question de savoir comment elle se sent, Hinaupoko Devèze répond avec ironie : “Vous êtes la vingtième personne à me poser la question ce soir”. Un exercice avec lequel celle à qui a été attribué le prestigieux statut de Miss France 2026 va devoir se familiariser. “On ne naît pas Miss, on le devient”, avoue-t-elle, se sentant honorée de ce nouveau titre mais ne réalisant pas encore avoir été celle choisie parmi les 29 autres candidates. La couronne de Miss France qu’elle porte le lui rappelle pourtant bien. “Je n’ai pas encore eu le temps de la regarder mais je la sens bien sur ma tête”, lâche-t-elle dans un sourire.
Les pronostics la plaçant souvent au statut de favorite avaient donc vu juste. Un statut que la Miss France 2026 fraîchement élue a pourtant vu d’un mauvais oeil. “Je trouve qu’être favorite ça ne joue pas en notre faveur, on est sous le feu des projecteurs, la moindre erreur est épiée, et moi ça ne me plaisait pas du tout, j’aurais préféré être la surprise de l’année”, explique celle qui dit ne pas s’être intéressée à tout ça.
A peine élue et déjà grandement sollicitée, quand on lui pose la question de savoir comment elle se sent, Hinaupoko Devèze répond avec ironie : “Vous êtes la vingtième personne à me poser la question ce soir”. Un exercice avec lequel celle à qui a été attribué le prestigieux statut de Miss France 2026 va devoir se familiariser. “On ne naît pas Miss, on le devient”, avoue-t-elle, se sentant honorée de ce nouveau titre mais ne réalisant pas encore avoir été celle choisie parmi les 29 autres candidates. La couronne de Miss France qu’elle porte le lui rappelle pourtant bien. “Je n’ai pas encore eu le temps de la regarder mais je la sens bien sur ma tête”, lâche-t-elle dans un sourire.
Les pronostics la plaçant souvent au statut de favorite avaient donc vu juste. Un statut que la Miss France 2026 fraîchement élue a pourtant vu d’un mauvais oeil. “Je trouve qu’être favorite ça ne joue pas en notre faveur, on est sous le feu des projecteurs, la moindre erreur est épiée, et moi ça ne me plaisait pas du tout, j’aurais préféré être la surprise de l’année”, explique celle qui dit ne pas s’être intéressée à tout ça.
“On a même lancé des petits clins d’oeil”
Sur scène, juste avant le verdict final, c’est un duo électrique que nous l’avons vue former main dans la main avec une autre Miss venue du Pacifique, la première dauphine, Miss Nouvelle-Calédonie. Sauts de joie, rires, complicité ; les deux femmes étaient déjà amies avant le concours. “On a fait que crier, on a même lancé des petits clins d’oeil à la caméra”.
Sa victoire, elle la caractérise de collective. “Si je suis là aujourd’hui c’est grâce à toutes les personnes qui m’ont encouragé, soutenu et poussé à donner le meilleur de moi-même”. Depuis la scène, l’originaire des Marquises a pu compter sur le soutien de ses proches et de sa famille venue très nombreuse pour l’acclamer. “Je les ai très bien entendus crier et ça m’a poussée à me donner à fond, ils souhaitaient vraiment que je gagne. Ils comprennent ce qui se passe et je les remercie du fond du coeur”, adresse Hinaupoko Devèze, qui regrette ne pas avoir pu tous les serrer dans ses bras dès la première minute.
Sa victoire, elle la caractérise de collective. “Si je suis là aujourd’hui c’est grâce à toutes les personnes qui m’ont encouragé, soutenu et poussé à donner le meilleur de moi-même”. Depuis la scène, l’originaire des Marquises a pu compter sur le soutien de ses proches et de sa famille venue très nombreuse pour l’acclamer. “Je les ai très bien entendus crier et ça m’a poussée à me donner à fond, ils souhaitaient vraiment que je gagne. Ils comprennent ce qui se passe et je les remercie du fond du coeur”, adresse Hinaupoko Devèze, qui regrette ne pas avoir pu tous les serrer dans ses bras dès la première minute.
“Vous m’avez transmis le mana”
Aux Polynésiens aussi Hinaupoko Devèze a lancé un petit message. “Merci de m’avoir portée et soutenue jusqu’ici, vous avez été ma plus grande force. Même à 16 000 kilomètres vous m’avez transmis le mana pour que je puisse remporter cette couronne”.
Au moment de son sacre, avant que ses parents ne la rejoignent sur scène pour une première étreinte, elle était loin d’être la seule représentante tahitienne. Mareva Georges, Mareva Galanter et Vaimalama Chaves, toutes trois Miss Tahiti devenues Miss France respectivement en 1991, 1999 et 2019. Toutes trois, par leur parcours, ont aussi beaucoup inspiré Hinaupoko, qui évoque avoir suivi le sacre de Vaimalama Chaves à la télévision.
Une année riche attend celle qui sait bien qu’elle va devoir “apprendre” à être Miss France pour porter haut et fort les valeurs qu’elle souhaite défendre, notamment autour de sa cause : la santé mentale. “Une cause qui nous concerne tous, peu importe le genre, le statut social, l’âge ou la culture. Nous sommes humains, les faiblesses font qui nous sommes. A travers mon titre j’ai osé montrer ma fragilité”, confie celle qui déclare elle-même avoir eu une petite période de “down” il y a quelques années. Avec son nouveau titre, elle espère pouvoir défaire le tabou autour du sujet.
Au moment de son sacre, avant que ses parents ne la rejoignent sur scène pour une première étreinte, elle était loin d’être la seule représentante tahitienne. Mareva Georges, Mareva Galanter et Vaimalama Chaves, toutes trois Miss Tahiti devenues Miss France respectivement en 1991, 1999 et 2019. Toutes trois, par leur parcours, ont aussi beaucoup inspiré Hinaupoko, qui évoque avoir suivi le sacre de Vaimalama Chaves à la télévision.
Une année riche attend celle qui sait bien qu’elle va devoir “apprendre” à être Miss France pour porter haut et fort les valeurs qu’elle souhaite défendre, notamment autour de sa cause : la santé mentale. “Une cause qui nous concerne tous, peu importe le genre, le statut social, l’âge ou la culture. Nous sommes humains, les faiblesses font qui nous sommes. A travers mon titre j’ai osé montrer ma fragilité”, confie celle qui déclare elle-même avoir eu une petite période de “down” il y a quelques années. Avec son nouveau titre, elle espère pouvoir défaire le tabou autour du sujet.






































