PAPEETE, 9 février 2016 - "Montrer que l’on est capable de réfléchir, d’expérimenter, de progresser dans le domaine de l’art contemporain", tel est l’objectif de la nouvelle parution du Centre des métiers d’art. Elle s’intitule Manava et montre l’ensemble des travaux des enseignants et élèves dans ce champ de création. Elle sera mise à la vente d’ici une semaine.
À l’origine de Manava, deux hommes : Viri Taimana, directeur du Centre des métiers d’art et Tokai Devatine, enseignant en histoire de la civilisation polynésienne et adjoint à la direction. Ensemble ils ont voulu montrer le travail des enseignants et des élèves du centre. "C’est un prétexte pour montrer que l’on est capable de réfléchir, d’expérimenter, de progresser dans le secteur de l’art contemporain." L’art contemporain est, d’après Viri Taimana, "cette expression de la culture à travers des mediums d’aujourd’hui, la photographie, les projections, etc. Cela traduit des préoccupations sociétales, politiques, universelles et personnelles des artistes et artisans".
Le centre des métiers d’art "a été créé dans le but d’entretenir le patrimoine polynésien et le diffuser", indique le directeur de l’établissement. "Il est là pour que nos étudiants acquièrent un langage visuel, qu’ils apprennent l’histoire, la culture le patrimoine et que tout cela leur serve à se questionner. Par exemple, il y a des marae, nous n’allons pus au marae, quelle est leur place dans la vie de tous les jours ? Comment nous situons-nous par rapport à une telle structure. "
En grandissant, l’établissement expérimente. Il teste, s’ouvre à de nouveaux horizons. "Par exemple, nous avons monté un partenariat avec le département architecture de l’université Woodbury aux États-Unis. Nos élèves sont allés sur place et ont expérimenté la 3 D et l’impression numérique, les étudiants américains sont venus nous voir, ils ont travaillé sur les matériaux. " Le nouveau catalogue Manava partage ces expériences, "sans pour autant entrer dans des réflexions philosophiques à n’en plus finir. Il reste accessible ! "
Il sera distribué dans les universités d’Océanie, les écoles de Polynésie française et dans les points de vente habituels. Les sommes récoltés permettront de financer d’autres projets de parution. "Nous espérons pouvoir maintenir un rythme d’un catalogue tous les deux ans", précise le directeur.
À l’origine de Manava, deux hommes : Viri Taimana, directeur du Centre des métiers d’art et Tokai Devatine, enseignant en histoire de la civilisation polynésienne et adjoint à la direction. Ensemble ils ont voulu montrer le travail des enseignants et des élèves du centre. "C’est un prétexte pour montrer que l’on est capable de réfléchir, d’expérimenter, de progresser dans le secteur de l’art contemporain." L’art contemporain est, d’après Viri Taimana, "cette expression de la culture à travers des mediums d’aujourd’hui, la photographie, les projections, etc. Cela traduit des préoccupations sociétales, politiques, universelles et personnelles des artistes et artisans".
Le centre des métiers d’art "a été créé dans le but d’entretenir le patrimoine polynésien et le diffuser", indique le directeur de l’établissement. "Il est là pour que nos étudiants acquièrent un langage visuel, qu’ils apprennent l’histoire, la culture le patrimoine et que tout cela leur serve à se questionner. Par exemple, il y a des marae, nous n’allons pus au marae, quelle est leur place dans la vie de tous les jours ? Comment nous situons-nous par rapport à une telle structure. "
En grandissant, l’établissement expérimente. Il teste, s’ouvre à de nouveaux horizons. "Par exemple, nous avons monté un partenariat avec le département architecture de l’université Woodbury aux États-Unis. Nos élèves sont allés sur place et ont expérimenté la 3 D et l’impression numérique, les étudiants américains sont venus nous voir, ils ont travaillé sur les matériaux. " Le nouveau catalogue Manava partage ces expériences, "sans pour autant entrer dans des réflexions philosophiques à n’en plus finir. Il reste accessible ! "
Il sera distribué dans les universités d’Océanie, les écoles de Polynésie française et dans les points de vente habituels. Les sommes récoltés permettront de financer d’autres projets de parution. "Nous espérons pouvoir maintenir un rythme d’un catalogue tous les deux ans", précise le directeur.
