BORA BORA, le 24 mai 2016. A mois d'un mois de l'ouverture du Heiva i Bora Bora, la commune se prépare pour l’événement.
Le Heiva i Bora Bora 2016 s’ouvre dans un mois et tout le monde se prépare. Le Heiva i Bora Bora a su préserver son aspect de fête populaire en réunissant chaque année les habitants des cinq districts venus soutenir leurs groupes mis en compétition aux travers de chants, de danses, d’activités sportives traditionnelles, de décoration des baraques foraines ou de chars fleuris. Cinq groupes concourent afin d’empocher un maximum de prix offerts par la commune, dont la subvention s’élève à 23 millions de Fcfp. Il s’agit des groupes de Nunue, Tiipoto, Amanahune, Anau et Faanui.
Aujourd’hui, la population de l’île maintient son héritage et patrimoine culturel aux travers de travaux manuels tels que le tressage, le coprah, le concours agricole, la confection de pandanus, de colliers et d’ornements reflétant un mode de vie simple. Ces travaux sont ainsi mis à l’honneur lors du Heiva, ils rappellent la vie d’antan. Aussi, différents sports traditionnels sont au programme : course de pirogue, le lancer de javelots, le triathlon, la pêche et la course de porteurs de fruits.
Parce que le sport est fédérateur, d’autres disciplines ont rejoint la plus grande fête de l’année : le cyclisme, le beach volley, le beach soccer, le crossfit, le tennis, etc. Même les hôtels se sont greffés aux animations en proposant un tuaro maohi et un Heiva hotera. En bref, tout a été prévu pour animer le Heiva durant cinq semaines.
Le Heiva i Bora Bora 2016 s’ouvre dans un mois et tout le monde se prépare. Le Heiva i Bora Bora a su préserver son aspect de fête populaire en réunissant chaque année les habitants des cinq districts venus soutenir leurs groupes mis en compétition aux travers de chants, de danses, d’activités sportives traditionnelles, de décoration des baraques foraines ou de chars fleuris. Cinq groupes concourent afin d’empocher un maximum de prix offerts par la commune, dont la subvention s’élève à 23 millions de Fcfp. Il s’agit des groupes de Nunue, Tiipoto, Amanahune, Anau et Faanui.
Aujourd’hui, la population de l’île maintient son héritage et patrimoine culturel aux travers de travaux manuels tels que le tressage, le coprah, le concours agricole, la confection de pandanus, de colliers et d’ornements reflétant un mode de vie simple. Ces travaux sont ainsi mis à l’honneur lors du Heiva, ils rappellent la vie d’antan. Aussi, différents sports traditionnels sont au programme : course de pirogue, le lancer de javelots, le triathlon, la pêche et la course de porteurs de fruits.
Parce que le sport est fédérateur, d’autres disciplines ont rejoint la plus grande fête de l’année : le cyclisme, le beach volley, le beach soccer, le crossfit, le tennis, etc. Même les hôtels se sont greffés aux animations en proposant un tuaro maohi et un Heiva hotera. En bref, tout a été prévu pour animer le Heiva durant cinq semaines.
Si l’organisation des concours et des activités revient au comité Heiva Rau, « qui ne chôme pas depuis plusieurs semaines » assure le président Pascal Temataua, toute la partie administrative et technique revient à la commune. Le maire met notamment un point d’honneur à la sécurité. Outre les moyens humains existants –ceux de la police municipal, des pompiers et des gendarmes grâce à un partenariat actif avec la commune– le conseil municipal a de nouveau acté le recrutement de 24 surveillants du domaine public.
Le maire fera également appel aux médiateurs bénévoles qui ont assuré une sensibilisation efficace lors de la course Hawaiki Nui va’a. Un arrêté sera pris pour interdire toute consommation d’alcool sur la place et les voies publiques durant les festivités.
Le coup d'envoi du Heiva i Bora Bora sera donné le 17 juin.
