Les stagiaires en pleine concentration.
PAPEETE, le 2 décembre 2014. Jusqu'à ce vendredi 5 décembre, le Conservatoire artistique de la Polynésie française (CAPF) organise son onzième stage international consacré à la découverte et la pratique du ‘ori tahiti et des arts traditionnels polynésiens. Une édition qui confirme l’intérêt des pratiquants étrangers, ou vivant hors du territoire, pour une discipline, le ‘ori tahiti, désormais pratiquée sur tous les continents. Ce stage réaffirme par ailleurs la volonté du CAPF de valoriser et transmettre, dans les meilleures conditions, les bases de la pratique de manière graduelle.
Les stagiaires sont, en effet, regroupés selon des niveaux: le niveau 1 étant réservé aux pratiquants fréquentant le stage pour la première fois. Le niveau 2 pour une seconde année de fréquentation, ainsi de suite jusqu’au niveau 6. Lors du dernier stage en avril 2014, par cinq pratiquantes japonaises, américaines et australienne avaient atteint ce stade. Et c'est au sein de ce sixième niveau, qu'une danseuse américaine, Desiree Woodward-Lee avait obtenu, la première, le prix Louise Kimitete, récompensant une pratique et un niveau artistique et technique jugés de haut niveau.
Outre l’apprentissage des pas de base du ‘ori tahiti à raison de deux heures par jour, et le passage, lors de la dernière journée de stage, devant un jury composé de professionnels de la danse traditionnelle, les stagiaires sont invités à pratiquer deux arts complémentaires : les percussions traditionnelles (pehe) et le ukulele, complétant ainsi leur formation. Les stagiaires ont également une initiation au tressage (colliers et couronnes).
Environ 250 stagiaires ont suivi ce stage international depuis sa création. 50% de ces stagiaires proviennent du Japon, destination phare pour cette pratique physique et culturelle. Parmi les autres nationalités : on note dans l’ordre décroissant les États-Unis (avec Hawaii), le Mexique, les Pays océaniens (Australie, Nouvelle Zélande, Calédonie) mais aussi depuis peu l’Europe (Italie, Espagne, France métropolitaine) et les pays d’Amérique du Sud. Le rayonnement est véritablement mondial.
Les stagiaires sont, en effet, regroupés selon des niveaux: le niveau 1 étant réservé aux pratiquants fréquentant le stage pour la première fois. Le niveau 2 pour une seconde année de fréquentation, ainsi de suite jusqu’au niveau 6. Lors du dernier stage en avril 2014, par cinq pratiquantes japonaises, américaines et australienne avaient atteint ce stade. Et c'est au sein de ce sixième niveau, qu'une danseuse américaine, Desiree Woodward-Lee avait obtenu, la première, le prix Louise Kimitete, récompensant une pratique et un niveau artistique et technique jugés de haut niveau.
Outre l’apprentissage des pas de base du ‘ori tahiti à raison de deux heures par jour, et le passage, lors de la dernière journée de stage, devant un jury composé de professionnels de la danse traditionnelle, les stagiaires sont invités à pratiquer deux arts complémentaires : les percussions traditionnelles (pehe) et le ukulele, complétant ainsi leur formation. Les stagiaires ont également une initiation au tressage (colliers et couronnes).
Environ 250 stagiaires ont suivi ce stage international depuis sa création. 50% de ces stagiaires proviennent du Japon, destination phare pour cette pratique physique et culturelle. Parmi les autres nationalités : on note dans l’ordre décroissant les États-Unis (avec Hawaii), le Mexique, les Pays océaniens (Australie, Nouvelle Zélande, Calédonie) mais aussi depuis peu l’Europe (Italie, Espagne, France métropolitaine) et les pays d’Amérique du Sud. Le rayonnement est véritablement mondial.
