Jean-Paul Tuaiva dans l'hémicycle de l'Asssemblée nationale
PAPEETE, le 21 novembre 2014: Dans un communiqué envoyé à la presse, le député Tahoera'a (UDI) Jean-Paul Tuaiva se félicite des avancées qui ont vu le jour depuis l'arrivée au pouvoir du nouveau gouvernement central et des efforts concédés par les membres de ce gouvernement pour de tenter de trouver un solution au dossier du RSPF:
¨Communiqué du Député TUAIVA concernant le RSPF ¨
"Dès mon élection en 2012, je me suis rapproché du nouveau Gouvernement central avec mes collègues Edouard Fritch et Jonas Tahuaitu pour que cesse la stigmatisation de la Polynésie française à Paris et le largage budgétaire du Pays organisé par l'ancien Président de la République.
Nous avons trouvé un nouveau Gouvernement totalement respectueux des autorités légitimement élues en Polynésie française, attentif aux demandes des élus locaux et profondément impliqué malgré le contexte budgétaire national, à la situation des outre-mer qui avaient tant souffert les années précédentes.
Depuis des avancées considérables ont vues le jour : avances de trésorerie effectuées au profit de la Polynésie française, élargissement de la loi Morin, mise en place du tribunal foncier, diminution des dotations stoppée ou encore défiscalisation sauvée.
Dès le changement de majorité locale en Polynésie française, le sujet du RSPF s'est imposé comme une priorité.
Là encore, nous avons trouvé un Gouvernement attentif à notre situation et particulièrement impliqué dans le dialogue avec les autorités locales pour nous aider à sauver le « seul amortisseur social » qu’est le RSPF.
Malgré le contexte social en Polynésie française et la situation dramatique des finances publiques nationales, les autorités du pays comme le Gouvernement central ont pris leurs responsabilités en toute transparence et continueront de les prendre.
Le pays a mis en œuvre des réformes courageuses et impopulaires et l'Etat s'est engagé publiquement à contribuer au RSPF.
Cet engagement très clair a été réaffirmé tout au long du mois de novembre tant par la Ministre des outre-mer en réponse à ma question lors du débat budgétaire que par le Ministère des Affaires sociales au Sénat, mais également soutenu par le premier ministre Manuel Valls.
Pour cela, il convient de rappeler l’engagement clair de l’état dans le dossier du RSPF en soulignant la dernière partie de la réponse du secrétaire d’état rattaché au Ministère des affaires sociales et de la santé.
« Suite aux engagements pris cet été, un groupe de travail, composé de représentants des autorités polynésiennes et des représentants des administrations centrales de mon ministère et du ministère des outre-mer, a été installé afin d’approfondir les pistes de réformes et les modalités d’accompagnement de l’Etat au redressement du RSPF. Deux pistes sont d’ores et déjà à l'étude. La première consiste à mettre fin à la majoration du tarif appliqué aux polynésiens soignés en métropole. La seconde consiste à réfléchir aux conditions dans lesquelles l'Etat pourrait, en tant qu'employeur verser à la Polynésie française une partie des cotisations patronales. Des expertises devraient déboucher dans les toutes prochaines semaines. Il s'agira là encore d'un effort conséquent pour l'Etat.
Je puis vous assurer de la volonté du gouvernement de rechercher avec les autorités de la Polynésie Française, les voies d’un redressement durable du RSPF, en réaffirmant le principe d’une contribution de l’Etat à ce régime, au regard et en accompagnement des réformes qui seront engagées pour en assurer la pérennité dans le sens des propositions de la mission inter-inspections »." Jean-Paul Tuaiva
¨Communiqué du Député TUAIVA concernant le RSPF ¨
"Dès mon élection en 2012, je me suis rapproché du nouveau Gouvernement central avec mes collègues Edouard Fritch et Jonas Tahuaitu pour que cesse la stigmatisation de la Polynésie française à Paris et le largage budgétaire du Pays organisé par l'ancien Président de la République.
Nous avons trouvé un nouveau Gouvernement totalement respectueux des autorités légitimement élues en Polynésie française, attentif aux demandes des élus locaux et profondément impliqué malgré le contexte budgétaire national, à la situation des outre-mer qui avaient tant souffert les années précédentes.
Depuis des avancées considérables ont vues le jour : avances de trésorerie effectuées au profit de la Polynésie française, élargissement de la loi Morin, mise en place du tribunal foncier, diminution des dotations stoppée ou encore défiscalisation sauvée.
Dès le changement de majorité locale en Polynésie française, le sujet du RSPF s'est imposé comme une priorité.
Là encore, nous avons trouvé un Gouvernement attentif à notre situation et particulièrement impliqué dans le dialogue avec les autorités locales pour nous aider à sauver le « seul amortisseur social » qu’est le RSPF.
Malgré le contexte social en Polynésie française et la situation dramatique des finances publiques nationales, les autorités du pays comme le Gouvernement central ont pris leurs responsabilités en toute transparence et continueront de les prendre.
Le pays a mis en œuvre des réformes courageuses et impopulaires et l'Etat s'est engagé publiquement à contribuer au RSPF.
Cet engagement très clair a été réaffirmé tout au long du mois de novembre tant par la Ministre des outre-mer en réponse à ma question lors du débat budgétaire que par le Ministère des Affaires sociales au Sénat, mais également soutenu par le premier ministre Manuel Valls.
Pour cela, il convient de rappeler l’engagement clair de l’état dans le dossier du RSPF en soulignant la dernière partie de la réponse du secrétaire d’état rattaché au Ministère des affaires sociales et de la santé.
« Suite aux engagements pris cet été, un groupe de travail, composé de représentants des autorités polynésiennes et des représentants des administrations centrales de mon ministère et du ministère des outre-mer, a été installé afin d’approfondir les pistes de réformes et les modalités d’accompagnement de l’Etat au redressement du RSPF. Deux pistes sont d’ores et déjà à l'étude. La première consiste à mettre fin à la majoration du tarif appliqué aux polynésiens soignés en métropole. La seconde consiste à réfléchir aux conditions dans lesquelles l'Etat pourrait, en tant qu'employeur verser à la Polynésie française une partie des cotisations patronales. Des expertises devraient déboucher dans les toutes prochaines semaines. Il s'agira là encore d'un effort conséquent pour l'Etat.
Je puis vous assurer de la volonté du gouvernement de rechercher avec les autorités de la Polynésie Française, les voies d’un redressement durable du RSPF, en réaffirmant le principe d’une contribution de l’Etat à ce régime, au regard et en accompagnement des réformes qui seront engagées pour en assurer la pérennité dans le sens des propositions de la mission inter-inspections »." Jean-Paul Tuaiva
Comme le montre cette poignée de main chaleureusement échangée lors de la conférence régionale sur le changement climatique à Nouméa la semaine dernière, la confiance, voir la complicité semblent s'installer entre François Hollande et Edouard Fritch
