NOUMÉA, 3 juil 2015 (AFP) - Le vice-président de la BEI (Banque Européenne d'Investissement), Pim van Ballekom, a déclaré vendredi à Nouméa que l'établissement européen voulait renforcer son activité dans la région Pacifique.
"Le mandat que nous ont donné nos actionnaires est d'investir dans le Pacifique et les opérations en cours illustrent notre détermination à être présent dans la région", a déclaré à l'AFP, M. van Ballekom.
Il a fait cette déclaration vendredi en Nouvelle-Calédonie, à l'occasion de la signature d'un prêt de 20 millions d'euros au Centre Hospitalier Territorial (CHT) de Nouméa, dans le cadre de sa participation à la construction du Médipôle de Koutio. Cet hôpital ultra-moderne doit remplacer le vieux CHT.
"C'est un projet remarquable pour la Nouvelle-Calédonie, très bien géré. Nous sommes intéressés par les projets viables financièrement et économiquement", a également indiqué le vice-président de la BEI.
Plus vaste construction publique de l'histoire de l'archipel, le Médipôle, d'un coût de 59 milliards de francs Pacifique (495 millions euros), doit être livré début 2016, après un chantier de quatre ans.
Situé en périphérie de Nouméa, le Médipôle comprend un hôpital, un centre de traitement du cancer, l'Institut Pasteur et un centre de rééducation fonctionnelle, déjà opérationnel.
Au cours des dix dernières années, la BEI a investi plus de 100 millions d'euros dans une quinzaine d'Etats insulaires et dans les territoires français de la région Pacifique.
Avant la Nouvelle-Calédonie, Pim van Ballekom s'était rendu à Fidji, pays avec lequel l'UE renoue des liens depuis les élections démocratiques de septembre 2014. L'archipel avait été le théâtre d'un coup d'Etat en décembre 2006.
"Nous réengageons la banque à Fidji. Le but de ma visite là-bas était d'explorer les possibilités d'investissement", a-t-il déclaré, précisant qu'à l'occasion de son séjour, la BEI avait déjà apporté son soutien à un projet hydroélectrique.
"Le mandat que nous ont donné nos actionnaires est d'investir dans le Pacifique et les opérations en cours illustrent notre détermination à être présent dans la région", a déclaré à l'AFP, M. van Ballekom.
Il a fait cette déclaration vendredi en Nouvelle-Calédonie, à l'occasion de la signature d'un prêt de 20 millions d'euros au Centre Hospitalier Territorial (CHT) de Nouméa, dans le cadre de sa participation à la construction du Médipôle de Koutio. Cet hôpital ultra-moderne doit remplacer le vieux CHT.
"C'est un projet remarquable pour la Nouvelle-Calédonie, très bien géré. Nous sommes intéressés par les projets viables financièrement et économiquement", a également indiqué le vice-président de la BEI.
Plus vaste construction publique de l'histoire de l'archipel, le Médipôle, d'un coût de 59 milliards de francs Pacifique (495 millions euros), doit être livré début 2016, après un chantier de quatre ans.
Situé en périphérie de Nouméa, le Médipôle comprend un hôpital, un centre de traitement du cancer, l'Institut Pasteur et un centre de rééducation fonctionnelle, déjà opérationnel.
Au cours des dix dernières années, la BEI a investi plus de 100 millions d'euros dans une quinzaine d'Etats insulaires et dans les territoires français de la région Pacifique.
Avant la Nouvelle-Calédonie, Pim van Ballekom s'était rendu à Fidji, pays avec lequel l'UE renoue des liens depuis les élections démocratiques de septembre 2014. L'archipel avait été le théâtre d'un coup d'Etat en décembre 2006.
"Nous réengageons la banque à Fidji. Le but de ma visite là-bas était d'explorer les possibilités d'investissement", a-t-il déclaré, précisant qu'à l'occasion de son séjour, la BEI avait déjà apporté son soutien à un projet hydroélectrique.
