PAPEETE, le 24 août 2015 - Les nouveaux étudiants à l'Université de Polynésie française (UPF) ont fait leur rentrée lundi matin. Ils ont été accueillis par le président, les directeurs de département, le vice-président par filière.
L'amphithéâtre A1 était plein à craquer hier matin. Les néo-bacheliers avaient investi l'espace pour découvrir leurs nouveaux espaces de travail. En guise d'accueil, Éric conte, le président a insisté la qualité de la structure et de l'enseignement. "Il ne faut pas oublier que pendant longtemps, avant la construction de l'université, les néo-bacheliers devaient quitter le fenua pour poursuivre leurs études. Vous avez la chance de pouvoir rester ici encore quelques années". Pour rappel l’université française du Pacifique a été créée par décret du 29 mai 1987. Elle était alors composée de deux centres universitaires, l’un à Nouméa, l’autre à Papeete.
Une centaine d'enseignants titulaires
À propos de l'enseignement, l'UPF compte cette année une centaine de titulaire, "pour la plupart docteur", a insisté Éric Conte. S'ajoutent aux titulaires, deux à trois cent vacataires ainsi que des missionnaires venus de France ou de l'étranger.
Une année d'enseignement à l'UPF coûte 28 000 Fcfp, elle est gratuite pour les boursiers, les étudiants y sont acceptés sans aucune sélection. "Pour autant, nous ne bradons pas nos diplômes. Nous les vendons chers en terme de travail. D'ailleurs, l'université se résume en trois mots : travail, travail et travail. Si vous avez l'intention de chauffer les bancs notre établissements universitaire, ne restez pas là. La vie est trop courte, il fait beau dehors, allez à la plage, allez surfer!" Le président de l'UPF n'a pas choisi ces mots par hasard. La moitié des étudiants ne passent pas la première année. "Soit parce qu'ils n'ont pas le niveau, soit parce qu'ils n'ont pas fait assez d'efforts."
L'amphithéâtre A1 était plein à craquer hier matin. Les néo-bacheliers avaient investi l'espace pour découvrir leurs nouveaux espaces de travail. En guise d'accueil, Éric conte, le président a insisté la qualité de la structure et de l'enseignement. "Il ne faut pas oublier que pendant longtemps, avant la construction de l'université, les néo-bacheliers devaient quitter le fenua pour poursuivre leurs études. Vous avez la chance de pouvoir rester ici encore quelques années". Pour rappel l’université française du Pacifique a été créée par décret du 29 mai 1987. Elle était alors composée de deux centres universitaires, l’un à Nouméa, l’autre à Papeete.
Une centaine d'enseignants titulaires
À propos de l'enseignement, l'UPF compte cette année une centaine de titulaire, "pour la plupart docteur", a insisté Éric Conte. S'ajoutent aux titulaires, deux à trois cent vacataires ainsi que des missionnaires venus de France ou de l'étranger.
Une année d'enseignement à l'UPF coûte 28 000 Fcfp, elle est gratuite pour les boursiers, les étudiants y sont acceptés sans aucune sélection. "Pour autant, nous ne bradons pas nos diplômes. Nous les vendons chers en terme de travail. D'ailleurs, l'université se résume en trois mots : travail, travail et travail. Si vous avez l'intention de chauffer les bancs notre établissements universitaire, ne restez pas là. La vie est trop courte, il fait beau dehors, allez à la plage, allez surfer!" Le président de l'UPF n'a pas choisi ces mots par hasard. La moitié des étudiants ne passent pas la première année. "Soit parce qu'ils n'ont pas le niveau, soit parce qu'ils n'ont pas fait assez d'efforts."
