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Jean-Christophe Bouissou s’entretient avec le Président de l’Autorité polynésienne de la concurrence


PAPEETE, le 27 août 2015. (COMMUNIQUE DE LA PRESIDENCE) Le ministre du Tourisme, des transports aériens internationaux, de la modernisation de l’administration et de la fonction publique, Jean-Christophe Bouissou, a reçu, mardi après-midi, à son ministère, Jacques Merot, Président de l’Autorité polynésienne de la concurrence (APC).

Les deux hommes s’étaient déjà rencontrés à Paris, lorsque Jean-Christophe Bouissou, en charge de la Relance économique, finalisait la mise en place de l’Autorité polynésienne de la concurrence.

Au cours de cet entretien de courtoisie, le statut des personnels du service d’instruction de l’Autorité polynésienne de la concurrence a notamment été évoqué. Sur ce point, il a été convenu que la Direction générale des ressources humaines (DGRH) apporterait conseils et assistance à l’autorité indépendante.

Rédigé par Présidence de la Polynésie Française le Jeudi 27 Août 2015 à 08:20 | Lu 512 fois
           



Commentaires

1.Posté par soufflot le 27/08/2015 08:59 | Alerter
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Encore un machin qui ne changera rien à notre économie de comptoir, on parie ?

2.Posté par emere cunning le 27/08/2015 20:47 | Alerter
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HOW MUCH WILL IT COST US ???

3.Posté par papounette le 28/08/2015 13:43 | Alerter
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Et vous voulez qu'on reste sous l'influence de tel ou tel clan qui s'en met plein les poches, c'est fini le far-west et les comportements mafieux qui règnent de bas en haut de notre économie.

4.Posté par Xenos le 28/08/2015 23:56 | Alerter
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Je sais ce qu'ils se sont dit (j'avais caché un micro) :

- Alors Jacques, pas de vagues, hein ?...

- Tu me l'a déjà dit Jean-Christophe : je touche mon salaire, je fais des déclarations, et surtout, surtout, je ne fait pas ch*er ni les commerçants, ni les industriels, et surtout pas ATN, surtout pas.

- C'est ça, tu touches ton salaire, Jacques, tu fais un peu de chalala, et c'est tout. Tout ira bien et tout le monde t'aimera.

- Oui Jean-Christophe, on les laisse continuer à tondre le public... mais il de doit plus y avoir grand'chose à tondre, remarque, avec leurs rapacité...

- Eux? T'inquiète, il tondraient un œuf. Et puis, on ne dit pas leur "rapacité" Jacques, on dit leur "générosité". Tu vois, t'es pas encore au point, là. Tu manques de vocabulaire. Tu vas finir comme Pastour si tu ne réfléchis pas. Viens on va bouffer...