PAPEETE, le 16 juin 2016 - Bien sûr, il y a la voix. Une voix minérale, une voix de tempête et de rocaille qui saisit l'auditeur immédiatement. Mais l'originalité ne réside pas que là. Car ses chansons sont à la mesure de leur interprète : un tourbillon d'émotions où se mêlent passion et fureur, sentiment et ressentiment.
Si Guillaume est né à Bergerac, la patrie de Juliette Gréco, il n'a cessé de bourlinguer dans le sillage d'un père aux nombreuses mutations professionnelles. De la Dordogne en Guadeloupe en passant par la Bretagne, la Touraine, la Gironde et les Landes où il a aujourd'hui posé ses valises, il a tour à tour appris les rudiments de la guitare et les secrets du surf, qu'il a même enseigné un temps. A l'âge où beaucoup hésitent encore à appréhender l'avenir, lui chantait de bars en club, la meilleure des écoles.
Son premier album "L'amour est laid" paru en 2010 (chez EMI) certifié disque d'or dès janvier 2011, s'est écoulé à ce jour à près de 100 000 exemplaires. Le single "Toi et moi" qui l'avait fait connaître, a touché plus de 350 000 fans, et le clip a dépassé 15 000 000 vues sur YouTube. S'en est suivi une tournée de plus de 140 dates à travers l'hexagone.
Après un deuxième album, "Il parait", passé sous silence à cause de la fusion Warner/EMI en 2014, Guillaume Grand est revenu en indépendant en 2016 avec un 3ème Opus intitulé "Mes yeux ne font pas semblant". Il lui a fallu tout reconstruire, se remettre rapidement à l'écriture, retourner au studio Muséum à Paris, toujours en compagnie du réalisateur Jean-Fabien Ekodo, dit Geef, de Sylvain Rabbath, co-réalisateur, pianiste et arrangeur, du bassiste Aurélien Fradagrada (qui forme avec Sylvain le groupe electro-funk HeadOnTelevision). Ce nouvel opus est l’occasion de retrouver les batteries puissantes de Philippe Entressangle, présent depuis ses débuts. Un écrin musical dense et lyrique, pour des chansons au diapason, impétueuses et tumultueuses.
À bientôt 33 ans, avec sa façon bien à lui d'exprimer les tourments de l'amour et les désarrois de la vie, il apparaît plus fort dans la maîtrise d'une langue qu'il semble pétrir au rythme des battements du cœur. Comme un troubadour moderne, sur lequel planerait les ombres des grands anciens, Brel ou Ferré. "Mes chansons reflètent ce que je vis, avec ses émotions, ses violences et ses contradiction. Chanter, c'est ma façon de me sentir vivant".
Si Guillaume est né à Bergerac, la patrie de Juliette Gréco, il n'a cessé de bourlinguer dans le sillage d'un père aux nombreuses mutations professionnelles. De la Dordogne en Guadeloupe en passant par la Bretagne, la Touraine, la Gironde et les Landes où il a aujourd'hui posé ses valises, il a tour à tour appris les rudiments de la guitare et les secrets du surf, qu'il a même enseigné un temps. A l'âge où beaucoup hésitent encore à appréhender l'avenir, lui chantait de bars en club, la meilleure des écoles.
Son premier album "L'amour est laid" paru en 2010 (chez EMI) certifié disque d'or dès janvier 2011, s'est écoulé à ce jour à près de 100 000 exemplaires. Le single "Toi et moi" qui l'avait fait connaître, a touché plus de 350 000 fans, et le clip a dépassé 15 000 000 vues sur YouTube. S'en est suivi une tournée de plus de 140 dates à travers l'hexagone.
Après un deuxième album, "Il parait", passé sous silence à cause de la fusion Warner/EMI en 2014, Guillaume Grand est revenu en indépendant en 2016 avec un 3ème Opus intitulé "Mes yeux ne font pas semblant". Il lui a fallu tout reconstruire, se remettre rapidement à l'écriture, retourner au studio Muséum à Paris, toujours en compagnie du réalisateur Jean-Fabien Ekodo, dit Geef, de Sylvain Rabbath, co-réalisateur, pianiste et arrangeur, du bassiste Aurélien Fradagrada (qui forme avec Sylvain le groupe electro-funk HeadOnTelevision). Ce nouvel opus est l’occasion de retrouver les batteries puissantes de Philippe Entressangle, présent depuis ses débuts. Un écrin musical dense et lyrique, pour des chansons au diapason, impétueuses et tumultueuses.
À bientôt 33 ans, avec sa façon bien à lui d'exprimer les tourments de l'amour et les désarrois de la vie, il apparaît plus fort dans la maîtrise d'une langue qu'il semble pétrir au rythme des battements du cœur. Comme un troubadour moderne, sur lequel planerait les ombres des grands anciens, Brel ou Ferré. "Mes chansons reflètent ce que je vis, avec ses émotions, ses violences et ses contradiction. Chanter, c'est ma façon de me sentir vivant".
Pratique
Le 18 juin à la Casa Mahina
De 17 à 18 heures : Tony
De 18h15 à 19h15 : Accoustic Party
De 19h30 à 20h30 : Big band du conservatoire
De 20h45 à 22 heures : Guillaume Grand
De 22h30 à minuit : Shalp’s Groupe de France Cover internationales
Tarif : 3 000 fcfp
Tél. : 40 43 08 00
Le 18 juin à la Casa Mahina
De 17 à 18 heures : Tony
De 18h15 à 19h15 : Accoustic Party
De 19h30 à 20h30 : Big band du conservatoire
De 20h45 à 22 heures : Guillaume Grand
De 22h30 à minuit : Shalp’s Groupe de France Cover internationales
Tarif : 3 000 fcfp
Tél. : 40 43 08 00
