PARIS, le 23 avril 2014. Au cours de la semaine dernière (le mercredi 16 avril), les trois députés polynésiens ont eu un premier entretien avec la nouvelle ministre des outre-mer George Pau-Langevin, une prise de contact que la ministre qualifie de constructive avec Edouard Fritch, Jean-Paul Tuaiva et Jonas Tahuaitu.
Visiblement la nouvelle locataire de la rue Oudinot entend travailler dans la continuité. «Les députés ont voulu attirer mon attention sur les difficultés que connaît actuellement la Polynésie, notamment les questions financières et donc s’assurer que le soutien que l’Etat a apporté au territoire récemment pour l’aider à régler ses difficultés financières serait maintenu. Je leur ai dit que en toute hypothèse, l’aspect bienveillant que Victorin Lurel avait eu pour prendre en compte les problèmes polynésiens serait évidemment la position que nous aussi allons aborder. Nous avons parlé de divers sujets, notamment la relance du tourisme puisque c’est un point qui est important pour le territoire, nous avons évoqué aussi quelques sujets plus difficiles comme la question de l’indemnisation des populations qui ont été victimes des essais nucléaires et nous avons vu comment les aider à constituer les dossiers et avoir le sentiment qu’ils sont entendus par les pouvoirs publics. Et nous avons aussi évidemment parlé de divers autres points concernant la relance de l’économie polynésienne en tout cas cela a été un échange très constructif».
La ministre nommée récemment à la tête des outre-mers par Manuel Valls a néanmoins souligné une certaine distance politique avec les députés polynésiens, appartenant tous les trois au groupe d'opposition UDI. Ainsi, George Pau-Langevin conclut : «Nous avons à faire à des interlocuteurs qui ne sont pas dans la majorité présidentielle mais qui sont là pour défendre les intérêts de leur territoire et je leur ai dit ma conviction que nous allions travailler en bonne intelligence».
Visiblement la nouvelle locataire de la rue Oudinot entend travailler dans la continuité. «Les députés ont voulu attirer mon attention sur les difficultés que connaît actuellement la Polynésie, notamment les questions financières et donc s’assurer que le soutien que l’Etat a apporté au territoire récemment pour l’aider à régler ses difficultés financières serait maintenu. Je leur ai dit que en toute hypothèse, l’aspect bienveillant que Victorin Lurel avait eu pour prendre en compte les problèmes polynésiens serait évidemment la position que nous aussi allons aborder. Nous avons parlé de divers sujets, notamment la relance du tourisme puisque c’est un point qui est important pour le territoire, nous avons évoqué aussi quelques sujets plus difficiles comme la question de l’indemnisation des populations qui ont été victimes des essais nucléaires et nous avons vu comment les aider à constituer les dossiers et avoir le sentiment qu’ils sont entendus par les pouvoirs publics. Et nous avons aussi évidemment parlé de divers autres points concernant la relance de l’économie polynésienne en tout cas cela a été un échange très constructif».
La ministre nommée récemment à la tête des outre-mers par Manuel Valls a néanmoins souligné une certaine distance politique avec les députés polynésiens, appartenant tous les trois au groupe d'opposition UDI. Ainsi, George Pau-Langevin conclut : «Nous avons à faire à des interlocuteurs qui ne sont pas dans la majorité présidentielle mais qui sont là pour défendre les intérêts de leur territoire et je leur ai dit ma conviction que nous allions travailler en bonne intelligence».
