Jacqui Drollet est à l'origine du nouveau Groupe de Parlementaires Polynésiens qui se compose de 10 communautés insulaires du Pacifique. L'officialisation de ce rassemblement se fera les 6 et 7 mars prochaîn, à l'Assemblée, place Taraho'i.
Jacqui Drollet, le président de l’Assemblée de Polynésie française, qui est à l’origine du projet, a bien confirmé la création du GPP, le Groupe de Parlementaires Polynésiens, le mois prochain.
Dix pays insulaires ont accepté de se joindre à ce groupe dont les projets tourneront autour d’échanges et d’entraide. Prochaine étape, l’officialisation du groupe.
Jacqui Drollet a confirmé, hier matin lors d’une interview accordée à Tahiti infos en langue tahitienne, que les démarches pour la création du groupe des parlementaires «mā’ohi», composé de présidents d’assemblées du Pacifique sud, suivaient leurs cours.
Pour faire taire les critiques, le président de l'APF a annoncé que l’assentiment officiel des présidents des Assemblées se concrétisera par la signature d’une charte constitutive du groupe, à l’occasion de la première conférence des présidents de parlements polynésiens, les 6 et 7 mars prochains à l’Assemblée de la Polynésie française.
Ainsi, seront présents les îles Cook, Niue, Tonga, Samoa orientales, Samoa américaines, Tuvalu, Kiribati, Rapa nui, Wallis et Futuna, la Nouvelle-Calédonie, Vanuatu et bien sûr la Polynésie française.
Il existe déjà une association regroupant les premiers-ministres du Pacifique sud, mais aucune encore qui regroupait les présidents d’assemblées. C’est suite à ce constat, lors d’une visite en 2012 au pays du «Long nuage blanc», que Jacqui Drollet avait décidé de mettre ce projet en route. Pour lui, «nous tournons toujours notre regard vers l’Europe, dès qu’il y a un problème. Alors que nous avons à notre portée d’autres petits pays du Pacifique avec qui nous pourrions échanger, débattre et travailler.»
Les objectifs de ce nouveau groupe sont clairs. Le groupe a pour objet de prendre toutes les initiatives susceptibles de favoriser le renforcement des liens entre les assemblées parlementaires de la zone « Polynésie ». Les actions du groupe viseront notamment à favoriser les contacts, la coordination et l'échange d'expériences entre les assemblées parlementaires et les parlementaires de la zone «Polynésie», participer à la promotion de l’identité, la culture et la langue polynésienne, contribuer à une meilleure connaissance du fonctionnement des institutions et débattre de questions d’intérêt commun.
Pour être certain de l’aboutissement du projet, Jacqui Drollet enchaîne les visites de courtoisies. Il a déjà reçu la visite du président de l’Assemblée territoriale de Wallis-et-Futuna ainsi que le président du parlement de Rapa nui, avec lesquels il s’est entretenu de la création du GPP.
Dix pays insulaires ont accepté de se joindre à ce groupe dont les projets tourneront autour d’échanges et d’entraide. Prochaine étape, l’officialisation du groupe.
Jacqui Drollet a confirmé, hier matin lors d’une interview accordée à Tahiti infos en langue tahitienne, que les démarches pour la création du groupe des parlementaires «mā’ohi», composé de présidents d’assemblées du Pacifique sud, suivaient leurs cours.
Pour faire taire les critiques, le président de l'APF a annoncé que l’assentiment officiel des présidents des Assemblées se concrétisera par la signature d’une charte constitutive du groupe, à l’occasion de la première conférence des présidents de parlements polynésiens, les 6 et 7 mars prochains à l’Assemblée de la Polynésie française.
Ainsi, seront présents les îles Cook, Niue, Tonga, Samoa orientales, Samoa américaines, Tuvalu, Kiribati, Rapa nui, Wallis et Futuna, la Nouvelle-Calédonie, Vanuatu et bien sûr la Polynésie française.
Il existe déjà une association regroupant les premiers-ministres du Pacifique sud, mais aucune encore qui regroupait les présidents d’assemblées. C’est suite à ce constat, lors d’une visite en 2012 au pays du «Long nuage blanc», que Jacqui Drollet avait décidé de mettre ce projet en route. Pour lui, «nous tournons toujours notre regard vers l’Europe, dès qu’il y a un problème. Alors que nous avons à notre portée d’autres petits pays du Pacifique avec qui nous pourrions échanger, débattre et travailler.»
Les objectifs de ce nouveau groupe sont clairs. Le groupe a pour objet de prendre toutes les initiatives susceptibles de favoriser le renforcement des liens entre les assemblées parlementaires de la zone « Polynésie ». Les actions du groupe viseront notamment à favoriser les contacts, la coordination et l'échange d'expériences entre les assemblées parlementaires et les parlementaires de la zone «Polynésie», participer à la promotion de l’identité, la culture et la langue polynésienne, contribuer à une meilleure connaissance du fonctionnement des institutions et débattre de questions d’intérêt commun.
Pour être certain de l’aboutissement du projet, Jacqui Drollet enchaîne les visites de courtoisies. Il a déjà reçu la visite du président de l’Assemblée territoriale de Wallis-et-Futuna ainsi que le président du parlement de Rapa nui, avec lesquels il s’est entretenu de la création du GPP.
