Le nouveau simulateur "voiture tonneau"
PAPEETE, le 26 février 2015 – Ce jeudi après-midi, tous les acteurs de la sécurité routière en Polynésie étaient rassemblés à Pirae pour inaugurer (et tester) les deux nouveaux simulateurs d'accidents reçus par la direction des Transports terrestres.
Ils viendront compléter les deux simulateurs existants (qui ont été testées par 18 000 personnes depuis 2008) pour multiplier encore les actions de préventions organisées auprès du grand public. L'une des deux machines est en particulier adaptée pour accueillir les plus petits, en toute sécurité mais tout de même assez de sensations pour faire comprendre aux enfants l'importance du port de la ceinture.
Car c'est vraiment le but des deux simulateurs, explique Chantal Serra, directrice des Transports terrestres : montrer aux enfants, aux jeunes, aux professionnels, au grand public les dangers de la route et l'importance du port de la ceinture de sécurité :
- Le premier appareil simule un choc frontal, et se nomme "testochoc". Bien que la vitesse ne soit pas très impressionnante, le choc à l'arrêt reste brutal. Sans la ceinture, les passagers auraient été éjectés dans le pare-brise avant.
- Le second, "voiture tonneau" simule des retournements suite à une sortie de route. Pour y entrer il faut vider ses poches, enlever ses lunettes et avoir le cœur bien accroché : les passagers seront soumis à une force de 2G. Et une fois qu'on en sort, on n'a plus aucun doute sur le fait que sans ceinture, en cas d'accident, on ne vaut guère mieux qu'une poupée de chiffons dans la gueule d'un chien fou.
La gendarmerie qui était présente à l'inauguration rappelle pour l'occasion que le port de la ceinture de sécurité est obligatoire en Polynésie à l'avant (depuis 1987) et à l'arrière (depuis 2009). Une infraction peut vous coûter une amende de 16 100 francs.
Le coût de ces deux nouveaux simulateurs est de 23 millions Fcfp, investis par le Pays à travers les crédits de l'équipement.
Ils viendront compléter les deux simulateurs existants (qui ont été testées par 18 000 personnes depuis 2008) pour multiplier encore les actions de préventions organisées auprès du grand public. L'une des deux machines est en particulier adaptée pour accueillir les plus petits, en toute sécurité mais tout de même assez de sensations pour faire comprendre aux enfants l'importance du port de la ceinture.
Car c'est vraiment le but des deux simulateurs, explique Chantal Serra, directrice des Transports terrestres : montrer aux enfants, aux jeunes, aux professionnels, au grand public les dangers de la route et l'importance du port de la ceinture de sécurité :
- Le premier appareil simule un choc frontal, et se nomme "testochoc". Bien que la vitesse ne soit pas très impressionnante, le choc à l'arrêt reste brutal. Sans la ceinture, les passagers auraient été éjectés dans le pare-brise avant.
- Le second, "voiture tonneau" simule des retournements suite à une sortie de route. Pour y entrer il faut vider ses poches, enlever ses lunettes et avoir le cœur bien accroché : les passagers seront soumis à une force de 2G. Et une fois qu'on en sort, on n'a plus aucun doute sur le fait que sans ceinture, en cas d'accident, on ne vaut guère mieux qu'une poupée de chiffons dans la gueule d'un chien fou.
La gendarmerie qui était présente à l'inauguration rappelle pour l'occasion que le port de la ceinture de sécurité est obligatoire en Polynésie à l'avant (depuis 1987) et à l'arrière (depuis 2009). Une infraction peut vous coûter une amende de 16 100 francs.
Le coût de ces deux nouveaux simulateurs est de 23 millions Fcfp, investis par le Pays à travers les crédits de l'équipement.
Heifara Garbet (directeur de cabinet du ministre de l'Équipement) et Marie Baville (directrice de cabinet du haut-commissaire) ont essayé "testochoc"
Pour l'inauguration des deux simulateurs, toute la famille de la prévention routière en Polynésie était présente : les représentants du ministère des Transports, de l'État (Haut-commissariat, gendarmerie et DSP), des auto-écoles et des associations pour la prévention routière.
