Le maire d’Arue et représentant à l’Assemblée, Philip Schyle a présenté ce vendredi matin sa suppléante à la députation, Teave Chaumette. Ensemble ils ont exposé les dossiers qu’ils défendront au Palais Bourbon s’ils sont élus sur la première circonscription. La philosophie qui anime ces candidats est la volonté d’offrir une autre politique aux polynésiens. Issue de la société civile, Teave Chaumette est las de ne rien voir bouger. « J’ai plus de voix, j’en ai marre de gueuler, de râler, de faire mes constats. J’ai décidé d’être encore plus active, de m’associer à Philip Schyle qui a des valeurs, qui a de l’expérience, qui est une personne intègre, pour porter mes valeurs à un plus au niveau » explique-t-elle.
Parmi les priorités des candidats, dont c’est première fois qu’ils se présentent à ces échéances, il y a la décentralisation. Pour faire simple, c’est appliquer en Polynésie française la régionalisation qui existe en métropole, mais une régionalisation à l’océanienne. Et de prendre pour exemple la Nouvelle Calédonie qui la mise en place depuis 1988. Cette provincialisation a fait ses preuves selon les candidats. « Aujourd’hui la Nouvelle Calédonie est la collectivité d’Outre-mer qui connait la croissance économique la plus élevée. Pour la Polynésie qui est un territoire aussi vaste que l’Europe c’est l’instrument qu’il faut. Cela repose sur la confiance, la confiance aux élus de proximité », a développé Philip Schyle. Cela consiste en une répartition beaucoup plus intelligente, plus équitable des moyens, des compétences que possède déjà la Polynésie française.
Concernant les rapports entre la Polynésie française et l’Etat, Philip Schyle les estiment pas bons ce qui n’est pas normal, pour lui. « Nous proposons de créer un cadre avec des objectifs. Le principal doit être la relance de l’économie. Ce cadre reposera sur des moyens décidés en commun, il doit être pérennisé sur 20 ans », a-t-il déclaré. Ainsi donc ce contrat s’articulera autour de 3 axes qui sont la définition de manière consensuelle des thématiques prioritaires en fixant les objectifs à atteindre, un accord quant aux moyens accordés (financiers, humains et techniques). Enfin l’avancée du contrat devra être évaluée de manière régulière.
Concernant un cumul éventuel de ses mandats, Philip Schyle s’est déjà prononcé « Si je suis élu, j’ai décidé de laisser mon mandat d’élu à l’assemblée de la Polynésie pour me consacrer entièrement à ma fonction nouvelle de député et à ma fonction de maire ». En marge de cette conférence, le maire d’Arue a annoncé que le Fetia Api avait pris la décision de soutenir Nicolas Sarkozy lors des prochaines élections présidentielles. En effet, le président actuel a eu le courage d’engager des réformes. Il a notamment mis en place le contrat de projet et la loi Morin a souligné Philip Schyle. Et c’est également pour rester en accord avec le Nouveau centre d’Hervé Morin, son partenaire politique métropolitain, qui a choisi de défendre la candidature de Nicolas Sarkozy.
Parmi les priorités des candidats, dont c’est première fois qu’ils se présentent à ces échéances, il y a la décentralisation. Pour faire simple, c’est appliquer en Polynésie française la régionalisation qui existe en métropole, mais une régionalisation à l’océanienne. Et de prendre pour exemple la Nouvelle Calédonie qui la mise en place depuis 1988. Cette provincialisation a fait ses preuves selon les candidats. « Aujourd’hui la Nouvelle Calédonie est la collectivité d’Outre-mer qui connait la croissance économique la plus élevée. Pour la Polynésie qui est un territoire aussi vaste que l’Europe c’est l’instrument qu’il faut. Cela repose sur la confiance, la confiance aux élus de proximité », a développé Philip Schyle. Cela consiste en une répartition beaucoup plus intelligente, plus équitable des moyens, des compétences que possède déjà la Polynésie française.
Concernant les rapports entre la Polynésie française et l’Etat, Philip Schyle les estiment pas bons ce qui n’est pas normal, pour lui. « Nous proposons de créer un cadre avec des objectifs. Le principal doit être la relance de l’économie. Ce cadre reposera sur des moyens décidés en commun, il doit être pérennisé sur 20 ans », a-t-il déclaré. Ainsi donc ce contrat s’articulera autour de 3 axes qui sont la définition de manière consensuelle des thématiques prioritaires en fixant les objectifs à atteindre, un accord quant aux moyens accordés (financiers, humains et techniques). Enfin l’avancée du contrat devra être évaluée de manière régulière.
Concernant un cumul éventuel de ses mandats, Philip Schyle s’est déjà prononcé « Si je suis élu, j’ai décidé de laisser mon mandat d’élu à l’assemblée de la Polynésie pour me consacrer entièrement à ma fonction nouvelle de député et à ma fonction de maire ». En marge de cette conférence, le maire d’Arue a annoncé que le Fetia Api avait pris la décision de soutenir Nicolas Sarkozy lors des prochaines élections présidentielles. En effet, le président actuel a eu le courage d’engager des réformes. Il a notamment mis en place le contrat de projet et la loi Morin a souligné Philip Schyle. Et c’est également pour rester en accord avec le Nouveau centre d’Hervé Morin, son partenaire politique métropolitain, qui a choisi de défendre la candidature de Nicolas Sarkozy.
