C’est un Teiva Manutahi galvanisé qui est revenu de Paris où les rencontres se sont enchaînées pendant toute une semaine. Il s’est longuement entretenu avec, entre autre, le député Nicolas Dupont-Aignan (ex candidat à la présidence de la république en 2012). Teiva Manutahi était accompagné de Pierre Marchesini (Collectif carton rouge) et du président du Here ‘Ai’a, Gustave Taputu. Ils ont rencontré Fabrice Rigoulet-Roze, directeur de cabinet du ministre de l’Outre mer, avec qui il était question tout d’abord du budget de la Polynésie française.
Autre dossier qui tient également beaucoup à cœur au leader du parti Pōrinetia ora : l’aéroport de Tahiti-Fa’a’a. Il a soulevé la question de la gestion de la structure « qui représente une manne financière non négligeable, et un véritable outil de développement dont je ne comprends pas pourquoi il n’est pas entre les mains du Territoire, alors que partout ailleurs, les concessions aériennes ont été rétrocédées aux administrateurs locaux ! »
Teiva Manutahi avait également annoncé la venue prochaine du député Nicolas Dupont-Aignan vers le mois d’avril. Comme ce fut le cas pour lui, il y a un an, celui-ci, viendra à son tour apporter son soutien à la liste “Polynésie Ensemble”, une liste commune conduite par Teiva Manutahi et Gustave Taputu.
Autre visite attendue par le politicien local, celle de Christian Poncelet, ancien président du sénat (sénateur des Vosges) qui viendra pour la seconde fois (car étant déjà venu), lui aussi, apporter son soutien à la liste dont fera partie Pōrinetia Ora. Teiva Manutahi, fort du succès de ces rencontres, se félicite d’avoir trouvé des interlocuteurs « à la hauteur de nos attentes, des attentes des polynésiens » lesquels ont, toujours selon ses dires « fustigé l’attitude et le comportement de partis politiques que sont le Tāhō’ēra’a et le Tāvini ».
Enfin, Teiva Manutahi a tenu également à apporter des précisions sur l’affaire de la révision du procès de Pouvana’a a O’opa. « Je me souviens que nos leaders politiques n’arrêtaient pas de faire peur ceux qui recherchaient la vérité quant à la révision du procès de Pouvana’a a O’opa. Or, lorsque nous sommes arrivés en France, la vérité était tout autre(…) Je puis vous assurer qu’il n’y a jamais eu d’ambiguïté au niveau de l’Etat concernant « une éventuelle révision ». Pas du tout ! On nous a bien confirmé que le processus de révision suivant son cours et qu’il aura bien lieu. C’était, je vous le rappelle, un engagement qu’avait pris François Hollande pendant la campagne présidentielle. Nous sommes d’ailleurs en contact avec le petit-fils du metua. » En attendant, le parti se prépare à arpenter rues et quartiers en vue des prochaines élections territoriales.
TP
Autre dossier qui tient également beaucoup à cœur au leader du parti Pōrinetia ora : l’aéroport de Tahiti-Fa’a’a. Il a soulevé la question de la gestion de la structure « qui représente une manne financière non négligeable, et un véritable outil de développement dont je ne comprends pas pourquoi il n’est pas entre les mains du Territoire, alors que partout ailleurs, les concessions aériennes ont été rétrocédées aux administrateurs locaux ! »
Teiva Manutahi avait également annoncé la venue prochaine du député Nicolas Dupont-Aignan vers le mois d’avril. Comme ce fut le cas pour lui, il y a un an, celui-ci, viendra à son tour apporter son soutien à la liste “Polynésie Ensemble”, une liste commune conduite par Teiva Manutahi et Gustave Taputu.
Autre visite attendue par le politicien local, celle de Christian Poncelet, ancien président du sénat (sénateur des Vosges) qui viendra pour la seconde fois (car étant déjà venu), lui aussi, apporter son soutien à la liste dont fera partie Pōrinetia Ora. Teiva Manutahi, fort du succès de ces rencontres, se félicite d’avoir trouvé des interlocuteurs « à la hauteur de nos attentes, des attentes des polynésiens » lesquels ont, toujours selon ses dires « fustigé l’attitude et le comportement de partis politiques que sont le Tāhō’ēra’a et le Tāvini ».
Enfin, Teiva Manutahi a tenu également à apporter des précisions sur l’affaire de la révision du procès de Pouvana’a a O’opa. « Je me souviens que nos leaders politiques n’arrêtaient pas de faire peur ceux qui recherchaient la vérité quant à la révision du procès de Pouvana’a a O’opa. Or, lorsque nous sommes arrivés en France, la vérité était tout autre(…) Je puis vous assurer qu’il n’y a jamais eu d’ambiguïté au niveau de l’Etat concernant « une éventuelle révision ». Pas du tout ! On nous a bien confirmé que le processus de révision suivant son cours et qu’il aura bien lieu. C’était, je vous le rappelle, un engagement qu’avait pris François Hollande pendant la campagne présidentielle. Nous sommes d’ailleurs en contact avec le petit-fils du metua. » En attendant, le parti se prépare à arpenter rues et quartiers en vue des prochaines élections territoriales.
TP
