Le président de l’assemblée de la Polynésie française, Jacqui Drollet a été reçu mercredi matin à Paris par le président du groupe de la gauche démocrate et républicaine (GDR) à l’assemblée nationale, André Chassaigne.
Cette rencontre, s’inscrivant dans une démarche visant à entretenir les liens d’amitiés avec les groupes de la majorité, a été l’occasion pour les deux hommes de faire un point sur les dossiers polynésiens en cours d’examen devant le parlement.
La proposition de loi relative au suivi des conséquences environnementales des essais nucléaires français en Polynésie française, adoptée par le Sénat en janvier et transmise au Palais Bourbon au début du mois, a ainsi été abordée.
Jacqui Drollet a d’autre part attiré l’attention d’André Chassaigne sur les modifications de la loi Morin demandées par la Polynésie française et les associations de victimes des essais nucléaires français.
Le président du groupe GDR, comptant cinq députés ultramarins dans ses rangs, s’est montré très sensible à ces problématiques.
Le président de l’assemblée du Pays a par ailleurs souligné la nécessité de clarifier les dispositions de l’article 52 de la loi statutaire relatives à la détermination de la quote-part du budget de la collectivité versée au fonds intercommunal de péréquation (FIP).
Soutien du groupe GDR
André Chassaigne a assuré qu’il soutiendrait cette démarche.
Jacqui Drollet a en outre abordé la révision du procès de Pouvanaa a Oopa, rappelant qu’une résolution visant à réhabiliter le « Metua » avait été adoptée à l’unanimité par l’assemblée de la Polynésie française en 2009.
Enfin, ce dernier a demandé la modification de la loi statutaire, concernant en particulier la parité et le découpage de la circonscription unique, par souci d’équité.
Le président du groupe GDR a assuré qu’il suivrait avec attention l’ensemble des dossiers polynésiens.
Jacqui Drollet rencontrera jeudi matin le président du groupe socialiste, républicain et citoyen (SRC) à l’assemblée nationale, Bruno Leroux.
Cette rencontre, s’inscrivant dans une démarche visant à entretenir les liens d’amitiés avec les groupes de la majorité, a été l’occasion pour les deux hommes de faire un point sur les dossiers polynésiens en cours d’examen devant le parlement.
La proposition de loi relative au suivi des conséquences environnementales des essais nucléaires français en Polynésie française, adoptée par le Sénat en janvier et transmise au Palais Bourbon au début du mois, a ainsi été abordée.
Jacqui Drollet a d’autre part attiré l’attention d’André Chassaigne sur les modifications de la loi Morin demandées par la Polynésie française et les associations de victimes des essais nucléaires français.
Le président du groupe GDR, comptant cinq députés ultramarins dans ses rangs, s’est montré très sensible à ces problématiques.
Le président de l’assemblée du Pays a par ailleurs souligné la nécessité de clarifier les dispositions de l’article 52 de la loi statutaire relatives à la détermination de la quote-part du budget de la collectivité versée au fonds intercommunal de péréquation (FIP).
Soutien du groupe GDR
André Chassaigne a assuré qu’il soutiendrait cette démarche.
Jacqui Drollet a en outre abordé la révision du procès de Pouvanaa a Oopa, rappelant qu’une résolution visant à réhabiliter le « Metua » avait été adoptée à l’unanimité par l’assemblée de la Polynésie française en 2009.
Enfin, ce dernier a demandé la modification de la loi statutaire, concernant en particulier la parité et le découpage de la circonscription unique, par souci d’équité.
Le président du groupe GDR a assuré qu’il suivrait avec attention l’ensemble des dossiers polynésiens.
Jacqui Drollet rencontrera jeudi matin le président du groupe socialiste, républicain et citoyen (SRC) à l’assemblée nationale, Bruno Leroux.
