PORT-MORESBY, dimanche 2 août 2015 (Flash d’Océanie) – La police papoue de la région d’Enga (Papouasie-Nouvelle-Guinée) estimé en fin de semaine que les activités d’orpaillage illégal, aux abords de la mine d’or de Porgera, pourraient à l’origine des affrontements qui ont coûté la vie d’une quinzaine de personnes au cours des deux dernières semaines.
« Cette zone devrait faire l’objet d’une déclaration d’état de guerre tribale », a estimé le Superintendant George Kakas, chef de la police de la province d’Enga.
Cette déclaration permettrait à la police de mener des opérations sur zone, y compris des perquisitions et des saisies d’armes.
Selon la police, qui demande depuis l’envoi de renforts depuis la capitale Port-Moresby, ces affrontements ont débuté courant juin 2015, à grand renfort d’armes lourdes, parfois de type automatique.
Or, selon le superintendant, les revenus de l’orpaillage illégal, très répandu aux abords de la mine, pourraient avoir financé cette débauche de coûteuses armes lourdes.
Parmi les victimes de ce qui semble être une succession d’attaques en règle, d’embuscades et de représailles : deux enfants, une femme enceinte et une autre dame, âgée.
De nombreuses autres personnes, blessées par balles à des degrés divers, ont été acheminées d’urgence vers le centre médical le plus proche, le Mt Hagen General Hospital.
La police des Hauts Plateaux de l’Ouest, qui des déclare dépassée par les événements, a confirmé qu’au cours de ces affrontements particulièrement violents, une école primaire et un dispensaire ont été dévastés.
Ces combats ne se sont jamais vraiment interrompus depuis une trentaine d’années.
Ils impliquent les deux tribus rivales de Kukutin (région de Kombiam, province d’Enga) et de Yapetalin (district de Baiyer, Hauts Plateaux de l’Ouest) qui se livrent une guerre épisodique, mais néanmoins acharnée.
pad
« Cette zone devrait faire l’objet d’une déclaration d’état de guerre tribale », a estimé le Superintendant George Kakas, chef de la police de la province d’Enga.
Cette déclaration permettrait à la police de mener des opérations sur zone, y compris des perquisitions et des saisies d’armes.
Selon la police, qui demande depuis l’envoi de renforts depuis la capitale Port-Moresby, ces affrontements ont débuté courant juin 2015, à grand renfort d’armes lourdes, parfois de type automatique.
Or, selon le superintendant, les revenus de l’orpaillage illégal, très répandu aux abords de la mine, pourraient avoir financé cette débauche de coûteuses armes lourdes.
Parmi les victimes de ce qui semble être une succession d’attaques en règle, d’embuscades et de représailles : deux enfants, une femme enceinte et une autre dame, âgée.
De nombreuses autres personnes, blessées par balles à des degrés divers, ont été acheminées d’urgence vers le centre médical le plus proche, le Mt Hagen General Hospital.
La police des Hauts Plateaux de l’Ouest, qui des déclare dépassée par les événements, a confirmé qu’au cours de ces affrontements particulièrement violents, une école primaire et un dispensaire ont été dévastés.
Ces combats ne se sont jamais vraiment interrompus depuis une trentaine d’années.
Ils impliquent les deux tribus rivales de Kukutin (région de Kombiam, province d’Enga) et de Yapetalin (district de Baiyer, Hauts Plateaux de l’Ouest) qui se livrent une guerre épisodique, mais néanmoins acharnée.
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