WELLINGTON, dimanche 4 octobre 2015 (Flash d’Océanie) – La proportion d’habitants d’origine océanienne pourrait atteindre 11 pour cent de la population totale de la Nouvelle-Zélande d’ici à 2038, selon les dernières projections publiées en milieu de semaine dernière par l’institut national de la statistique, Statistics New Zealand.
Cette proportion était placée à huit pour cent lors de la dernière édition de ces statistiques, en 2013.
Principaux moteurs de cette croissance : les forts taux de natalité au sein de cette communauté.
Selon l’institut néo-zélandais, le foyer privilégié des Océaniens de Nouvelle-Zélande (ceux qui se définissent eux-mêmes, lors des enquêtes de recensement, comme des « insulaires du Pacifique », demeure, de loin, Auckland, qui conserve ainsi son titre officieux de capitale mondiale de l’Océanie.
Dans cette ville, la proportion d’Océaniens devrait atteindre les 18 pour cent d’ici 2038, selon les mêmes projections.
D’autres communautés connaissent aussi des tendances de croissance fortes en Nouvelle-Zélande : les indigènes Maori, mais aussi la communauté asiatique.
Ainsi, pour Auckland, des quartiers à dominante ethnique soit océanienne, soit asiatique, se dessinent, alors que dans d’autres zones de la grande ville néo-zélandaise, c’est une communauté diverse, mais plus homogène, qui se profile, analysent les statisticiens.
Ces derniers rappellent aussi l’importance de ce genre de données afin de « mieux comprendre les changements démographiques » et permettre aux autorités locales de « mieux planifier dans des domaines comme l’éducation et la santé, où des populations d’ethnicités différentes peuvent aussi avoir des besoins différents ».
Ceux qui s’identifient comme « Européens ou autres », pour leur part, connaîtront d’ici à 2038 une baisse du rythme de leur croissance.
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Document-ressource : les dernières estimations de Statistics New Zealand
/SubnationalEthnicPopulationProjections_MR2013base.aspx]url:http://
Cette proportion était placée à huit pour cent lors de la dernière édition de ces statistiques, en 2013.
Principaux moteurs de cette croissance : les forts taux de natalité au sein de cette communauté.
Selon l’institut néo-zélandais, le foyer privilégié des Océaniens de Nouvelle-Zélande (ceux qui se définissent eux-mêmes, lors des enquêtes de recensement, comme des « insulaires du Pacifique », demeure, de loin, Auckland, qui conserve ainsi son titre officieux de capitale mondiale de l’Océanie.
Dans cette ville, la proportion d’Océaniens devrait atteindre les 18 pour cent d’ici 2038, selon les mêmes projections.
D’autres communautés connaissent aussi des tendances de croissance fortes en Nouvelle-Zélande : les indigènes Maori, mais aussi la communauté asiatique.
Ainsi, pour Auckland, des quartiers à dominante ethnique soit océanienne, soit asiatique, se dessinent, alors que dans d’autres zones de la grande ville néo-zélandaise, c’est une communauté diverse, mais plus homogène, qui se profile, analysent les statisticiens.
Ces derniers rappellent aussi l’importance de ce genre de données afin de « mieux comprendre les changements démographiques » et permettre aux autorités locales de « mieux planifier dans des domaines comme l’éducation et la santé, où des populations d’ethnicités différentes peuvent aussi avoir des besoins différents ».
Ceux qui s’identifient comme « Européens ou autres », pour leur part, connaîtront d’ici à 2038 une baisse du rythme de leur croissance.
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Document-ressource : les dernières estimations de Statistics New Zealand
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